La section de l’autoroute Tiébissou-Bouaké, longue de 96km, a été officiellement mise en service, 24 août 2023, par le Vice-président Tiémoko Meyliet Koné.
Longtemps attendue par les usagers, la section de l’autoroute Tiébissou-Bouaké demeure « un outil de rapprochement, de progrès et surtout de développement ».
La section comprend 84 km d’autoroute, 12 km de voie express, un poste à péage de 10 cabines, trois parkings, 84 ouvrages hydrauliques et 27 ouvrages d’art.
L’amélioration et la modernisation des réseaux autoroutiers demeurent toujours au centre des préoccupations du Président Alassane Ouattara. Cette action s’inscrit dans le cadre d’une vision stratégique du désenclavement de la Côte d’Ivoire.
L’accélération de la construction de réseaux autoroutiers consolide le positionnement de la Côte d’Ivoire sur la voie du progrès
« L’autoroute est l’un des fleurons du développement économique, social et touristique du pays. Elle participe également à l’aménagement équilibré du territoire et permet de soutenir les investissements », fait remarquer Félix Brito.
Cette section autoroutière est un projet structurant important visant à alléger et fluidifier le trafic, à l’amélioration de la mobilité des personnes et des biens, ainsi qu’à l’amélioration des conditions d’écoulement des produits agricoles.
« L’accélération de la construction de réseaux autoroutiers consolide le positionnement de la Côte d’Ivoire sur la voie du progrès. Les impacts socio-économiques de cette infrastructure routière sur les populations riveraines sont indéniables », analyse Koné Alpha Yaya.
« Cette politique d’extension du réseau autoroutier contribue à l’accessibilité des populations aux services sociaux de base. Puisque cette voie, jadis très dégradée et jonchée de creux, était impraticable et causait beaucoup d’ennuis aux usagers », témoigne Konan Koffi Pascal.
Lancés le 29 novembre 2018 par feu le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, les travaux de construction de cette section autoroutière ont généré plus de 2 000 emplois directs et indirects.
Le coût total de l’investissement est estimé à 186,5 milliards FCFA.